No hay un centro, sólo dar la vuelta
Allan Villavicencio a défini son langage plastique en expérimentant les limites de la pratique picturale, en explorant les possibilités de ses systèmes avec une palette de couleurs modifiée par l'incorporation de différentes couches et affectations à la toile ; mais aussi par la manière dont son travail est installé dans l'espace d'exposition, dans une sorte d'étude "à long terme" des façons de voir la peinture testées par différentes traditions artistiques. Ses récits visuels sont construits sur la base de modèles de comportement esthétique trouvés dans l'espace quotidien, ce qui lui permet de construire des modules et de sélectionner des chromatiques avec lesquelles il incorpore dans son travail des formes particulières de l'environnement qui ne sont pas codifiées dans la tradition classique du domaine de la peinture.
Mars 6, 2024